Après un premier semestre 2024 marqué par l’évolution divergente des économies, de nouveaux plus hauts boursiers et quelques élections cruciales, le second semestre s’annonce tout aussi rythmé.
Ces 40 dernières années, les investisseurs ont évolué dans un environnement de taux d’intérêt orientés à la baisse, de faible inflation et d’accélération de la mondialisation. Depuis la fin de la guerre froide, nous avons également profité de longues périodes de relative stabilité géopolitique.
Mais tout cela est en train de changer, et en tant qu’investisseurs, nous devons envisager de nouveaux scénarios pour faire face à cette nouvelle réalité. Avec quelles conséquences ? Le changement étant source d’incertitude, après une période caractérisée par une volatilité relativement limitée, les marchés pourraient devenir plus agités ces prochaines années.
Et pour Jody Jonsson, Vice Chairperson et gérante de portefeuille, c’est précisément le type d’environnement pour lequel Capital Group est préparé. « Nous sommes là pour aider les investisseurs à faire abstraction des mouvements boursiers à court terme et à investir sur le long terme. Avec tous les secteurs, sociétés et thèmes d’investissement qui restent à explorer, la gestion active a plus que jamais un rôle à jouer !
« Ces prochaines années, je m’attends à une meilleure répartition des performances des marchés financiers : les marchés américains resteront bien orientés, mais ils ne seront plus la seule source de rendement. Les obligations aussi sont plus attrayantes, car elles servent à nouveau des taux plus généreux. Si le ton devient plus pessimiste, la sélection de titres devrait jouer un rôle essentiel pour identifier les opportunités et stimuler les résultats des portefeuilles. »
C’est dans ce contexte que nous présentons nos perspectives pour le second semestre 2024. Téléchargez le fichier pour en savoir plus sur :
· les divergences qui apparaissent entre différentes économies,
· les politiques monétaires attendues des banques centrales,
· les scénarios concernant les élections américaines de novembre,
· nos perspectives concernant les actions et les obligations,
· les opportunités concernant différentes régions et classe d’actifs.