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Industrie manufacturière

Économie : l’Allemagne est-elle encore dans la course ?

La transition numérique est en cours et les technologies d’automatisation des voitures électriques sont en plein essor, des domaines dans lesquels des pays comme la Chine ont désormais développé leurs propres compétences technologiques. Or, après plusieurs décennies fastes dans l’automobile, la chimie/pharmaceutique ou encore la fabrication d’équipements, l’Allemagne risque de se faire dépasser. Elle pâtit en effet de coûts de main-d’œuvre supérieurs à ceux observés dans d’autres pays, mais aussi d’une productivité du travail qui stagne en raison d’une population vieillissante et de la multiplication des contrats à temps partiel.  

 

Pourtant, les industriels allemands n’ont pas dit leur dernier mot : défiant les craintes grandissantes d’une désindustrialisation, ils font preuve de réactivité et adaptent leur appareil productif aux nouveaux modèles économiques.

 

Si avant le conflit, elle importait de Russie plus de la moitié du gaz naturel qu’elle consommait, Ainsi, sa production industrielle a mieux résisté que prévu, puisque sa valeur ajoutée brute a progressé de 0,25 % en 2023. elle s’est depuis tournée vers d’autres pays, comme la Norvège et les Pays-Bas, et a implanté plusieurs terminaux méthaniers sur son territoire.  Enfin, ses échanges commerciaux avec la zone euro, les États-Unis et d’autres régions du monde sont également en augmentation.

 

Les entreprises allemandes cherchent à diversifier leurs partenaires commerciaux

Contribution de différents pays à la croissance des exportations de l’Allemagne

Contribution de différents pays à la croissance des exportations de l’Allemagne

Données au 31 mars 2024.  Source : Direction of Trade Statistics du Fonds monétaire international.

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Robert Lind  est économiste chez Capital Group. Il possède 36 ans d’expérience dans le secteur de l’investissement et a rejoint Capital Group il y a 7 ans, après avoir été responsable de la recherche macro chez ABN AMRO, puis économiste en chef chez Anglo American. Il est titulaire d’une licence de philosophie, politique et économie de l’université d’Oxford. Robert est basé à Londres.

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