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Volatilité du marché
Cinq points de vue sur la débâcle des marchés
Jared Franz
Économiste
Gerald Du Manoir
Gestionnaire de portefeuille d’actions
Chris Buchbinder
Gestionnaire de portefeuille d’actions
John Queen
Gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe
Steve Watson
Gestionnaire de portefeuille d’actions

Quand les parquets ont piqué du nez dans le monde au cours des premiers jours d’août, l’exubérance des investisseurs a vite cédé la place à l’appréhension. Les préoccupations entourant le ralentissement de l’économie aux États-Unis, combinées aux niveaux élevés des taux d’intérêt et des cours dans le secteur des technologies, ont ébranlé la confiance des investisseurs, qui portaient alors des lunettes roses.


Pendant les épisodes de tensions sur les marchés comme celle que nous connaissons en ce moment, il importe de prendre du recul, d’examiner les données fondamentales et de déterminer si la volatilité est attribuable à une réaction excessive ou s’il s’agit d’une correction prévue après une longue période de rendements solides.


Voici le point de vue de cinq professionnels en placement de Capital Group, qui ont analysé les derniers changements survenus rapidement sur marché.


La conjoncture macroéconomique demeure favorable

Jared Franz, économiste américain

Nous sommes en pleine saison estivale, période marquée par de faibles liquidités où les investisseurs réagissent de manière excessive aux nouvelles tant positives que négatives. Comme la situation est peu susceptible de changer au cours des prochaines semaines, je m’attends à une volatilité accrue.


Dans l’arène économique, je ne vois rien dans les données qui indiquerait un recul prononcé ou une dégradation des fondamentaux de l’économie américaine. Je constate surtout un ralentissement du moteur économique, mais pas nécessairement une contraction.


Un ralentissement de l’économie va normalement de pair avec un affaiblissement du marché du travail et des salaires, ce qui a pour effet de freiner la consommation. Cela dit, si les données économiques continuent de fléchir de façon générale, c’est-à-dire si le taux chômage grimpe pour dépasser la barre de 4,5 % jusqu’à 5,0 %, cela pourrait jeter les bases d’une réduction des taux d’intérêt américains plus importante que ce qui se reflète dans les cours à l’heure actuelle, selon moi. J’aimerais souligner par ailleurs que l’activité économique en Europe et en Chine a perdu beaucoup de vitesse au cours des trois à six derniers mois.


Les places boursières mondiales ont connu une forte remontée jusqu’à présent

Le graphique montre une hausse générale des rendements boursiers aux États-Unis, en Europe ainsi qu’au Japon de janvier 2023 à aujourd’hui et une forte baisse en août 2024. Au cours de cette période, les actions américaines ont rapporté 42%, les actions européennes ont rapporté 25 % et les actions japonaises ont rapporté 13 %, au 5 août 2024.

Sources : MSCI, RIMES, Standard & Poor’s. Les rendements présentés sont les rendements totaux cumulatifs de l’indice S&P 500, de l’indice MSCI Europe et de l’indice MSCI Japan du 1er janvier 2023 au 5 août 2024. Les données du 5 août sont fondées sur les valeurs intrajournalières.

Malgré un léger ralentissement de l’économie, les entreprises américaines ont enregistré de solides bénéfices. Dans l’ensemble, les cours boursiers demeurent raisonnables, les actions de l’indice S&P 500 se négociant à un multiple de 20,8 fois les bénéfices prévus dans 12 mois (27,8 fois en ce qui concerne les actions des sept magnifiques à l’exclusion de Tesla), au 2 août. Même si la correction du marché s’explique en partie par la crainte que la Fed traîne les pieds dans la mise en œuvre de sa politique d’assouplissement, il reste que nous nous trouvons au début d’un cycle de détente et que les taux d’intérêt tant nominaux que réels ne sont pas excessivement élevés par rapport aux normes historiques.


Dans l’ensemble, cela ressemble davantage à une zone de turbulence grave qu’à une violente contraction.


Les marchés des actions étaient prêts pour un repli

Gerald Du Manoir, gestionnaire de portefeuille,
Fonds Capital Group actions internationalesMC (Canada)

Nous avons connu une période d’hyperconcentration où les marchés semblaient indiquer que seules les actions d’une poignée d’entreprises méritaient de se négocier à des ratios plus élevés. Les investisseurs s’intéressaient alors uniquement à certains thèmes du marché. À l’avenir, je m’attends à ce que les investisseurs accordent plus d’attention aux données fondamentales des entreprises sans égard au thème de placement, que les entreprises exercent leurs activités dans les domaines de l’intelligence artificielle (IA) ou des médicaments pour la perte de poids ou qu’il s’agisse de titres axés sur la valeur ou la croissance.


Au cours des dernières années, les évaluations de certaines entreprises très robustes ont subi des pressions baissières, les investisseurs étant obnubilés par les technologies et l’IA. Or, bon nombre de ces entreprises se sont relativement bien comportées récemment. Selon moi, la récente correction signifie simplement qu’à l’avenir, il faudra mettre l’accent sur les fondamentaux, qui finiront par reprendre du lustre. Une approche équilibrée et diversifiée s’avérera alors indispensable.


L’intelligence artificielle entre dans une zone de désillusion

Chris Buchbinder, gestionnaire de portefeuille,
Fonds Capital Group actions américainesMC (Canada)

Il fallait s’attendre à une correction des actions liées à l’IA, qui a suscité beaucoup d’enthousiasme, à l’instar de l’Internet en 2000. Je pense que l’IA est tout à fait réelle et qu’elle changera radicalement nos vies au cours des 5 à 10 prochaines années. Cependant, je crois aussi que nous entrons dans une zone de désillusion. Dans le cadre de n’importe quel cycle de croissance, il y a toujours des périodes où les fondamentaux perdent de la vigueur. Néanmoins, ils finissent par se raffermir à long terme, mais dans l’intervalle, les investisseurs peuvent réagir de façon excessive.


En effet, bien que le récent repli boursier ait été à la fois rapide et puissant, il a davantage touché les actions dites « momentum » ou celles dont le cours évolue dans une direction depuis un certain temps. Bon nombre d’entreprises bien établies versant des dividendes ou celles générant des flux de trésorerie à court terme visibles ont affiché une bonne tenue.


Les actions axées sur le momentum ont fait l’objet de ventes massives

: Le graphique montre une hausse générale des rendements boursiers dans quatre catégories d’actions : momentum, qualité, valeur et taille, de janvier 2024 à aujourd’hui. Les actions axées sur le momentum ont enregistré les gains les plus solides, progressant de quelque 30 % jusqu’en juillet. Elles ont également inscrit les replis les plus prononcés à la fin de juillet et en août. Les quatre catégories d’actions se situaient à 0 % le 1er janvier 2024. Au 2 août 2024, les actions misant sur le momentum avaient augmenté de 15,2 %, les actions misant sur la qualité avaient augmenté de 15,4 %, les actions misant sur la valeur avaient augmenté de 7,0 %, et les actions misant sur la taille avaient augmenté de 6,8 %.

Source : MSCI. Les indices factoriels font partie de l’indice MSCI USA. Les rendements présentés sont les rendements totaux du 1er janvier au 2 août 2024 et sont en USD.

Les obligations ont résisté à la dégringolade des places boursières

John Queen, gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe

Les marchés obligataires ont procuré un certain répit aux investisseurs pendant le repli général des actions. En effet, les cours des bons du Trésor américain se sont envolés en réaction au rapport sur l’emploi publié vendredi. Craignant de plus en plus une récession, les investisseurs ont cherché à se mettre à l’abri, ce qui a pesé sur les taux des obligations du Trésor, qui ont cédé beaucoup de terrain la semaine dernière. Pendant ce temps, les actions ont chuté et les écarts de crédit se sont élargis, les rendements obligataires évoluant à l’inverse des prix.


Ces mouvements du marché font suite à un rapport paru vendredi aux États-Unis indiquant des salaires inférieurs aux prévisions. Selon les données publiées, la croissance de l’emploi avait décéléré et le taux de chômage avait augmenté, passant de 4,1 à 4,3 % en juin. Or, cela a déclenché la règle de Sahm voulant qu’une telle hausse du taux de chômage à partir d’un creux indique toujours une récession. La semaine dernière, la Fed a maintenu les taux d’intérêt dans une fourchette de 5,25 à 5,50 % pour la huitième fois consécutive. Son grand manitou, Jerome Powell, a signalé que des réductions pourraient avoir lieu dès septembre, mais les investisseurs craignent qu’une baisse standard de 25 points de base arrive trop tard et qu’elle soit insuffisante.


Les rendements initiaux étant plus élevés sur toute la courbe, les obligations peuvent jouer leur rôle lorsque les actions font l’objet de ventes massives. La corrélation négative entre les obligations et les actions rappelle l’importance de la diversification et des titres à revenu fixe dans les portefeuilles des investisseurs.


Les chiffres sur l’emploi parus vendredi ont continué à pointer vers un ralentissement et pourraient ouvrir la voie à une véritable faiblesse ainsi qu’à une récession, mais rien n’indique clairement que c’est le cas à l’heure actuelle. Compte tenu des fortes fluctuations observées depuis le début de l’année à cause des rapports sur les données économiques et des attentes des investisseurs à l’égard des baisses de taux, la prudence est de mise. Je vais donc continuer de me concentrer sur l’avenir et d’analyser la situation dans son ensemble, ce qui m’aidera à déterminer le moment opportun pour modifier mes placements, au besoin.


Le Japon a déclenché la vague de liquidations dans le monde

Steve Watson, gestionnaire de portefeuille, Capital Group générateur de revenuMC (Canada)

L’appréciation du yen pourrait également contribuer à la volatilité des marchés au sud de la frontière. La semaine dernière, la Banque du Japon a surpris les investisseurs en relevant son taux directeur de 15 points de base pour le porter à 0,25 %, son niveau le plus élevé depuis la crise financière mondiale. Elle a par ailleurs annoncé un plan visant à réduire son programme d’assouplissement quantitatif. Le yen a alors gagné beaucoup de poids par rapport au billet vert.


Les parquets nippons ont subi les contrecoups de cette volte-face et dégringolé. Or, le repli pourrait s’étendre aux États-Unis. En effet, de nombreux investisseurs se sont tournés vers le Japon pour effectuer des opérations spéculatives sur écart de rendement, empruntant en yens à des taux très bas afin d’investir dans d’autres devises ou actifs à rendement élevé. Compte tenu de la montée vertigineuse du yen, ils ont été obligés de vendre d’autres actifs, y compris des actions américaines, pour couvrir leurs pertes et financer des appels de capitaux. Il est néanmoins difficile de quantifier l’ampleur d’un tel mouvement.


Certains diront que la récente vigueur du yen a incité les investisseurs japonais à délaisser les actions des sept magnifiques, ce qui a pesé sur les marchés américains. Bien que ce soit peut-être le cas, je crois plutôt que les actions de croissance cotées aux États-Unis étaient devenues trop onéreuses et qu’elles étaient mûres pour une correction.


Par ailleurs, les actions japonaises se sont envolées au cours de la dernière année, les investisseurs s’attendant à une embellie des données fondamentales. En effet, les organismes de réglementation ont exercé des pressions sur les entreprises pour qu’elles raffermissent leur santé financière globale, ce qui a incité bon nombre d’entre elles à se départir d’activités non essentielles. Dans ce contexte, certains investisseurs craignent donc que la banque centrale du Japon ait resserré la politique monétaire trop tôt.



Jared Franz est économiste et possède 18 ans d’expérience dans le secteur (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’un doctorat en économie de l’Université de l’Illinois à Chicago, d’un baccalauréat en mathématiques de l’Université Northwestern et a fréquenté l’Académie navale américaine.

Gerald Du Manoir est gestionnaire de portefeuille d’actions et possède 34 ans d’expérience dans le secteur (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’un diplôme en finance internationale, obtenu avec distinction de l’Institut Supérieur de Gestion à Paris.

Chris Buchbinder est gestionnaire de portefeuille d’actions et possède 28 ans d’expérience en matière de placement (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’un baccalauréat en économie et d’un baccalauréat en relations internationales de l’Université Brown.

John Queen est gestionnaire de portefeuille de titres à revenu fixe et possède 34 ans d’expérience en placement (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’un baccalauréat en gestion industrielle de Purdue.

Steve Watson est gestionnaire de portefeuille d’actions et possède 36 ans d’expérience en matière de placement (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’une MBA et d’une maîtrise en études françaises de l’Université de New York ainsi que d’un baccalauréat en français de l’Université du Massachusetts.


Les sept magnifiques comprennent Alphabet, Amazon, Apple, Meta, Microsoft, NVIDIA et Tesla.

 

L’indice MSCI Europe est conçu pour mesurer les résultats des marchés boursiers de 15 pays développés en Europe.

 

L’indice MSCI Japan est un indice ajusté au flottant et pondéré en fonction de la capitalisation boursière conçu pour mesurer les résultats des marchés boursiers du Japon.

 

L’indice MSCI USA est un indice ajusté au flottant et pondéré en fonction de la capitalisation boursière conçu pour mesurer les résultats des marchés boursiers des États-Unis.

L’indice MSCI USA Momentum est basé sur l’indice MSCI USA, son indice mère, qui comprend les actions d’entreprises américaines à grande et moyenne capitalisation. Il est conçu pour refléter le rendement d’une stratégie boursière axée sur le momentum en mettant l’accent sur les actions de sociétés dont les bénéfices jouissent d’un fort potentiel de croissance tout en maintenant des liquidités raisonnablement élevées aux fins de négociation ainsi qu’une capacité d’investissement et un taux de rotation modéré.

 

L’indice MSCI USA Quality est basé sur l’indice MSCI USA, son indice mère, qui comprend les actions d’entreprises américaines à grande et moyenne capitalisation. Il vise à refléter le rendement des actions de croissance de grande qualité en déterminant celles présentant trois grandes caractéristiques fondamentales : rendement des capitaux propres élevé, croissance stable des bénéfices en glissement annuel et faible endettement. 

 

L’indice MSCI USA Size Tilt est basé sur l’indice MSCI USA, son indice mère, qui comprend les actions d’entreprises américaines à grande et moyenne capitalisation. Il reflète le rendement d’une stratégie de petite taille ayant une capacité d’investissement assez élevée. Il comprend tous les constituants de l’indice mère et les pondère au moyen de la racine carrée de la pondération de leur capitalisation boursière.

 

L’indice MSCI USA Value Weighted est basé sur l’indice MSCI USA, son indice mère, qui comprend les actions d’entreprises américaines à grande et moyenne capitalisation. Il pondère de nouveau chaque titre de l’indice mère pour mettre l’accent sur les actions affichant des évaluations plus faibles. Les pondérations de l’indice sont déterminées à l’aide de données comptables fondamentales — ventes, valeur comptable, bénéfices et flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation — plutôt que des prix du marché. 

 

L’indice S&P 500 est un indice pondéré selon la capitalisation boursière fondé sur les résultats d’environ 500 actions ordinaires détenues par un grand nombre d’actionnaires.

 

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