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Perspectives internationales : faire du neuf avec du vieux
Carl Kawaja
Gestionnaire de portefeuille d’actions
Robert Lind
Économiste
Steve Watson
Gestionnaire de portefeuille d’actions

On ne peut pas bâtir la nouvelle économie sans les anciennes entreprises.


Comme exemple concret, le secteur minier, un recoin longtemps négligé des marchés boursiers, semble soudainement beaucoup plus attrayant. Avec la montée en flèche des prix des marchandises, les entreprises qui produisent des matériaux de base tels que le minerai de fer, le cuivre et le nickel reviennent en grâce, étant donné le rôle essentiel qu’elles jouent dans l’économie mondiale.


Alors que les entreprises axées sur le numérique, le commerce électronique et les médias sociaux pâtissent du ralentissement du marché depuis le début de l’année, les investisseurs se recentrent sur les entreprises de l’ancienne économie, qui représentent une plus grande partie des marchés cotés en bourse en dehors des États-Unis.


« Les investisseurs commencent à s’intéresser aux entreprises qui produisent des actifs tangibles », affirme Carl Kawaja, gestionnaire de portefeuille du Fonds Capital Group actions mondialesMC (Canada). « Par exemple, le nickel et le cuivre sont des composants clés dans la production de véhicules électriques. Or, nous savons tous à quel point les VE se développent rapidement. Je pense toutefois que les gens ne se rendent pas compte qu’il faut une grande quantité de nickel et de cuivre pour les construire. »


Les minières vs les métadonnées


Les prix de certaines marchandises pourraient rester élevés pendant des années en raison du sous-investissement chronique dans les nouveaux projets miniers et du temps considérable qu’il faut pour obtenir l’approbation du gouvernement. Cette dynamique reste largement méconnue par le marché.


Pour en avoir la preuve, il suffit de regarder la capitalisation boursière des cinq plus grandes entreprises minières du monde. Combinées, elles excèdent à peine la valeur de Meta Platforms, société mère de Facebook.


Les entreprises minières demeurent dans l’ombre malgré leur rôle clé dans l’économie mondiale

L’image présente la capitalisation boursière de cinq entreprises minières (Anglo American, Glencore, Vale, Rio Tinto et BHP) par rapport au géant des médias sociaux Facebook. Facebook, récemment rebaptisé Meta Platforms, a une valeur de marché de 458 G$ US, ce qui est légèrement inférieur à la valeur de marché de 529 G$ US des cinq entreprises minières cotées en bourse combinées.

Source : RIMES. Au 31 mai 2022. Les données de Facebook correspondent à la valeur de marché de l’ensemble de l’entreprise, qui a été rebaptisée Meta Platforms en 2021.

Le minerai de fer, élément clé de l’acier, en est un autre bon exemple.


« Je ne pense pas que la Silicon Valley viendra perturber l’industrie du minerai de fer », soutient M. Kawaja. « Après tout, elle existe depuis l’âge du fer. C’est une activité durable. »


Depuis le début de l’année, le secteur des métaux et des mines de l’indice MSCI All Country World ex USA est en hausse de 7,8 % en dollars américains. Ce chiffre est à comparer à la baisse de 12,8 % enregistrée par l’indice global au 31 mai.


L’ESG est partout


Un autre domaine dans lequel les marchés internationaux prennent le devant est l’investissement ESG, ou environnemental, social et de gouvernance. Initié en Europe, l’ESG est aujourd’hui présent partout et son importance ne fera que croître dans les années à venir.


La volonté mondiale de réduire les émissions de carbone et d’améliorer l’efficacité énergétique est souvent associée aux véhicules électriques ou aux énergies solaire et éolienne. Mais l’effort ne se limite pas aux secteurs de l’automobile et de l’énergie.


Les bâtiments rejettent dans l’atmosphère plus de dioxyde de carbone que l’industrie du transport au grand complet. C’est pourquoi des entreprises telles que Carrier et Daikin mettent au point des systèmes de chauffage et de climatisation qui pourraient réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre. La réglementation en Europe et ailleurs exige les plus vieux systèmes soient remplacés par des produits écoénergétiques, ce qui pourrait donner lieu à de belles occasions à long terme pour ces deux entreprises.


Les industriels futés construisent des édifices plus durables

L’image présente trois entreprises : Carrier, Daikin et Sika, qui cherchent à réduire les émissions de carbone dans les secteurs de la fabrication de systèmes CVC et des matériaux de construction. L’entreprise américaine Carrier a été fondée en 1915 et sa capitalisation boursière s’élève à 33,2 G$ US. Carrier a pour objectif d’établir des activités neutres en carbone d’ici 2030. De 2015 à 2020, l’entreprise a déclaré avoir réduit sa production de déchets dangereux de 23 % et ses émissions de gaz à effet de serre de 17 %. L’entreprise japonaise Daikin a été fondée en 1924 et sa capitalisation boursière s’élève à 45,3 G$ US. Daikin a pour objectif d’établir des activités neutres en carbone d’ici 2050. L’entreprise indique que 98 % de ses ventes sont classées dans la catégorie « respectueuse de l’environnement », contre 83 % en 2017, et qu’elle a réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 31 % de 2016 à 2020. L’entreprise suisse Sika a été fondée en 1910 et sa capitalisation boursière s’élève à 44 G$∘US. Sika a pour objectif d’établir des activités neutres en carbone d’ici 2050. Sika a indiqué que 52 % de l’électricité utilisée dans ses activités en 2021 provenait de sources renouvelables. Le processus exclusif de recyclage du béton de l’entreprise permet de réduire d’environ 40 % l’empreinte carbonique des clients utilisant du nouveau béton.

Sources : Capital Group, rapports des entreprisee, Refinitiv Datastream. La capitalisation boursière de l’entreprise est en USD au 30 avr. 2022.

Les règles plus strictes en matière d’émissions de gaz à effet de serre et les dépenses d’infrastructures dans les principales économies pourraient aussi jouer en faveur de Sika, fournisseur suisse de matériaux de construction. L’entreprise produit des additifs pour ciment qui peuvent réduire les émissions de gaz à effet de serre et accroître la durabilité.


« Ce secteur peut sembler ennuyeux », déclare Jonathan Knowles, gestionnaire de portefeuille d’actions, « mais son potentiel de croissance est assez convaincant à mesure que les normes d’émissions mondiales se durcissent. »


L’économie européenne progresse malgré les vents contraires


Dans l’ensemble, les perspectives des marchés d’actions internationaux restent sombres en raison de l’inflation élevée, de la hausse des taux d’intérêt et de la guerre en Ukraine. Toutefois, la prédominance des entreprises de l’ancienne économie qui versent des dividendes en Europe, soit exactement le type d’entreprises qui reviennent en grâce, pourrait signifier que les marchés internationaux sont sur le point d’une période de surperformance relative.


L’économie européenne résiste remarquablement bien malgré les craintes des investisseurs d’une récession due à la guerre. Alors que le secteur manufacturier a souffert de la guerre en Ukraine et de la crainte que la Russie ne coupe les approvisionnements en gaz naturel, le secteur des services s’est beaucoup mieux comporté, principalement grâce à une demande latente.


« Il y a encore un degré raisonnable de dynamisme dans l’économie européenne », déclare l’économiste Robert Lind. « Cela reflète les tendances à la réouverture que nous avons observées au début de l’année, lorsque les gouvernements ont commencé à assouplir les restrictions liées à la pandémie. »


Le secteur des services soutient l’économie de la zone euro alors que l’industrie manufacturière ralentit

L’image présente l’indice des directeurs d’achats de la zone euro pour la période allant de janvier 2010 au 30 avril 2022. L’indice est ventilé pour montrer les contributions du secteur des services et du secteur manufacturier. Ces derniers mois, les deux secteurs ont divergé, avec une hausse du secteur des services et une baisse du secteur manufacturier. Au 30 avril 2022, le secteur des services se situait à 57,7 et le secteur manufacturier à 50,7.

Sources : Haver, S&P Global. Au mois d’avril 2022. L’indice des directeurs d’achat de la zone euro (PMI) est une mesure de l’activité commerciale par rapport au mois précédent, basée sur une enquête auprès d’environ 5 000 entreprises basées dans les secteurs de l’industrie manufacturière et des services de la zone euro. Les niveaux du PMI supérieurs à 50 indiquent une croissance et les niveaux inférieurs à 50 indiquent une contraction. En 2020, le PMI des services est tombé à 12,0 et le PMI manufacturier à 18,1, mais ils ne sont pas représentés sur le graphique pour des raisons d’échelle.

Le secteur des services, qui comprend entre autres la finance, le commerce de détail et le tourisme, représente la majeure partie de l’emploi et de la production économique dans la zone euro, note M. Lind. Si les tendances actuelles persistent, cela signifie que l’Europe pourrait poursuivre sa croissance malgré la faiblesse du secteur manufacturier.


M. Lind s’attend à ce que la croissance du PIB dans la zone euro se situe entre 2,5 % et 3,0 % cette année, ce qui représenterait une forte expansion par rapport à son taux de croissance moyen, qui a été d’environ 1,0 % au cours de la dernière décennie.


Une croissance économique solide associée à une inflation élevée signifie que la Banque centrale européenne devrait commencer à relever ses taux d’intérêt en juillet, selon M. Lind. Cela devrait soulager le secteur bancaire européen, qui souffre des taux négatifs depuis 2014. Le taux directeur de la BCE s’établit désormais à -0,50 %. Deux hausses de 25 points de base seulement mettraient effectivement fin à l’ère des taux directeurs négatifs en Europe, ce qui représenterait une étape importante.


Gardez un œil sur les actions de valeur


Un mouvement durable en faveur des actions axées sur la valeur pourrait stimuler les marchés européens, étant donné la plus grande représentation de ces actions dans les principaux indices européens. L’Europe, et les marchés émergents par la même occasion, comptent également un nombre beaucoup plus important de titres versant des dividendes par rapport aux États-Unis, ainsi que des rendements en dividendes moyens plus élevés.


Il est trop tôt pour dire si les actions de valeur continueront à dépasser les actions de croissance sur l’ensemble de l’année. Bien que les deux catégories soient en territoire négatif, sur une base relative, la valeur est le vainqueur incontesté jusqu’à présent.


Les actions de valeur devancent largement les actions de croissance pour l’exercice

L’image présente les résultats en USD de l’indice MSCI World Growth et de l’indice MSCI World Value pour la période allant du 31 décembre 2021 au 24 mai 2022. Au cours de cette période, les actions de valeur ont largement dépassé les actions de croissance. Les actions de valeur ont chuté de 6 % et les actions de croissance de 25 %.

Sources : Capital Group, MSCI, Refinitive Datastream. Les rendements reflètent les rendements totaux cumulés pour la période allant du 31 décembre 2021 au 24 mai 2022. Les rendements sont en USD.

« Après de nombreuses années de résultats médiocres, nous commençons à voir de meilleurs résultats de la part des placements axés sur la valeur », affirme Steve Watson, gestionnaire de portefeuille du Capital Group générateur de revenuMC (Canada) et du Capital Group portefeuille de revenu mensuelMC (Canada).


« Selon moi, nous nous dirigeons vers un marché des actions qui sera moins obsédé par la croissance et plus conscient de la valeur. Malgré les défis auxquels l’Europe est confrontée, je crois qu’une réelle valeur apparaît dans les actions européennes. En tant qu’investisseur à contre-courant et orienté vers la valeur, j’aime à penser que cela va continuer. »


Les secteurs axés sur la valeur jouent un rôle plus important sur les marchés non américains

L’image démontre que les indices non américains sont plus fortement pondérés vers les secteurs à faible croissance orientés vers la valeur, sur la base de l’exposition régionale de chaque secteur au sein de l’indice MSCI All Country World. Pour les marchés non américains, l’exposition au secteur des matériaux est de 68 %. Finance : 55 %. Industrie : 49 %. Énergie : 48 %. Biens de consommation de base : 46 %. Services aux collectivités : 43 %. Consommation discrétionnaire : 38 %. Immobilier : 35 %. Services de communication : 32 %. Santé : 31 %. Technologies de l’information : 21 %. Le pourcentage restant pour chaque secteur est conforme à la région des États-Unis. Sources : MSCI, RIMES. Au 30 avril 2022.

Sources : MSCI, RIMES. Au 30 avril 2022.

La principale source d’incertitude reste bien sûr la guerre en Ukraine et la crainte qu’elle ne s’étende à d’autres pays européens. Bien que l’issue soit imprévisible et que le risque d’escalade soit toujours présent, la réponse unifiée de l’Europe à l’invasion russe du 24 février a été encourageante, selon M. Watson.


« Beaucoup d’entre nous qui observons la scène internationale ont été surpris de la rapidité avec laquelle l’Europe a relevé le défi », explique M. Watson. « L’Allemagne, par exemple, s’est engagée à consacrer au moins 2 % de son PIB à la défense, ce qui était considéré comme presque impossible il y a quelques mois seulement. »


Les sanctions sans précédent imposées par l’Union européenne et les États-Unis ont également montré clairement que l’agression de la Russie a un coût élevé.


« Le monde se remettra de cette crise », rassure Watson. « Mais combien de temps cela va-t-il prendre? C’est difficile à prédire pour le moment. »



Carl Kawaja est président de Capital Research and Management Company, qui fait partie de Capital Group. Il est également gestionnaire de portefeuille d’actions. Carl possède 35 ans d’expérience dans le secteur des placements et travaille pour Capital Group depuis 28 ans. Il est titulaire d’une MBA de Columbia et d’un diplôme d’histoire de l’Université Brown.

Robert Lind est économiste et possède 36 ans d’expérience dans le secteur (au 31 décembre 2023). Il est titulaire d’un baccalauréat en philosophie, politique et économie de l’Université d’Oxford.

Steve Watson est gestionnaire de portefeuille d’actions et possède 34 ans d’expérience en matière de placement. Il est titulaire d’une MBA et d’une maîtrise en études françaises de l’Université de New York ainsi que d’un baccalauréat en français de l’Université du Massachusetts.


L’indice des directeurs d’achat (PMI) de la zone euro est une mesure de l’activité commerciale par rapport au mois précédent, basée sur une enquête auprès d’environ 5 000 entreprises basées dans les secteurs de l’industrie manufacturière et des services de la zone euro.

 

L’indice MSCI All Country World est un indice pondéré selon la capitalisation boursière flottante, conçu pour mesurer le rendement des marchés boursiers de plus de 40 indices de pays développés et émergents.

 

L’indice MSCI All Country World ex USA est un indice pondéré selon la capitalisation boursière flottante, conçu pour mesurer les résultats des marchés boursiers des marchés développés et émergents, à l’exception des États-Unis. L’indice est composé de plus de 40 indices de pays développés et émergents.

 

L’indice MSCI World Growth est conçu pour mesurer les rendements des actions mondiales à grande et moyenne capitalisation présentant des caractéristiques globales de style croissance dans 23 pays développés.

 

L’indice MSCI World Value est conçu pour mesurer les rendements des actions mondiales à grande et moyenne capitalisation présentant des caractéristiques globales de style valeur dans 23 pays développés.

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